• Au cimetière, monument commémoratif des soldats de l’Armée de l’Est, décédés à Landeyeux (1871), inauguré le 23 février 1873. Ce sont les premiers malades soignés à l’hôpital de Landeyeux.
  • L’église dédiée à saint Jacques.
  • Bâtiment scolaire construit par Jean Béguin, entre 1890 et 1892.
  • Les fermes sur l’ancienne route qui va à Malvilliers.
  • Fontaine de 1740 portant les noms des gouverneurs David Jeanberthoud et Jonas-Pierre Guyot.
  • Dans le jardin public, oeuvre d’Aloïs Dubach : D’eux (1992).
  • Les hameaux de La Jonchère et Malvilliers (maison Samuel-Henri Guyot, en 1848).
  • Descente du ruz d’Amont jusqu’à La Borcarderie.
  • Sur la montagne, pâturage des Grandes Pradières, les Rochers Bruns. On passe sur le territoire de La Sagne par la Combe des Quignets où coule sporadiquement Le Chanaillon.
  • Evologia (ancienne Ecole cantonale d’agriculture, créée en 1885-1886) : Grange aux concerts, Jardins musicaux, etc. Au restaurant, vitraux de Jean Bouille : Au-delà des saisons (1985-1986).
  • Eglise protestante avec vitraux modernes d’Aloys Perregaux : L’AnnonciationLe Baptême de JésusJesus et Marie de BéthanieLa Crucifixion ou descente de Croix La Résurrection. Par le passé, le lieu était dédié à Notre Dame (donc à la Vierge Marie).
  • Sur la place du village, à côté d’une fontaine du XVIIIe siècle, oeuvre de Patrick Honegger : La petite suite (1991).
  • Hôtel-de-Ville (rue de l’Epervier n° 6), architecture du XIXe siècle.
  • Complexe scolaire secondaire de La Fontenelle (Evard & Biancolin, premiers architectes). Devant le bâtiment, une fontaine de Jean-Pierre Devaud, céramiste : Les Galets, bronze (1964). Dans le corridor : Ondes réfléchies, sculpture en acier inoxydable (1972).
  • Eglise catholique, vitraux des saints patrons des anciennes paroisses de Val-de-Ruz (1909).
  • On raconte que le premier pasteur desservait Fontaines et Cernier et que, fatigué, il se reposait sur une pierre entre les deux localités. À repérer au bord de la route avec une plaque commémorative.
  • Montagne de Cernier, reconstruction de murs en pierres sèches, dans le cadre du projet débuté en 2014 entre Les Vieux-Prés et La Vue-des-Alpes.
  • Eglise de Saint-Martin avec des vitraux de Paul Duckert, atelier de Taizé (France) : La gloire habitera notre terre (nord) – Le filet de la mort me tenait (nord) – L’Arbre de Vie (est) – Le Buisson Ardent (est) – L’agneau pascal (oeil de boeuf) – Les prairies se revêtent de troupeaux (sud) – Le Seigneur visite la terre et l’abreuve (sud) – Ceux qui sèment dans les larmes moissonnent en chantant (sud).
  • Hameau du Petit-Chézard (fermes du XVIIe et XVIIIe siècles).
  • Lessiverie marquant, en son milieu, la limite entre Chézard et Saint-Martin.
  • Différentes fontaines taillées dans le roc au XVIIIe siècle souvent avec les initiales des gouverneurs aux dates mentionnées.
  • Manufacture d’orgues (sur rendez-vous).
  • En montagne, site des Vieux-Prés (cf. Les Chemins chouettes, balade n° 3), gouffre de Pertuis.
  • Musée agricole regroupant tous les objets nécessaires à la vie paysanne d’autrefois (sur rendez-vous).
  • A l’église, Charles L’Eplattenier exécute des peintures murales (1932-1933) : Annonciation – Déposition de la Croix – Le tombeau vide.
  • Vitraux de Raymond Perrenoud (1956) dans l’église : La Sainte Cène – Le Baptême – La Multiplication des
  • Pains – Les Ouvriers envoyés dans la moisson.
  • Clé de voûte du clocher de 1828 avec les initiales des autorités.
  • Fermes et anciennes fermes de grand volume.
  • Ensemble de bassins de fontaines (en roc et en granit), rappelle l’agriculture et l’élevage au village.
  • Avec précaution, allez voir l’étang de Paulière (réserve naturelle).
  • À la suite du sinistre du 2 août 1994, la reconstruction de l’église est accompagnée d’une perte de substance dans le décor. En revanche, un orgue neuf permet l’organisation de concerts depuis plusieurs lustres. Les traces d’un décor du XVIIe sont à peine visibles. Aloys Perregaux a réalisé des vitraux aux couleurs pastel dans le style austère du bâtiment (2001).
  • Les fontaines taillées dans le roc et le granit émaillent le village (on trouve même en forêt un bassin non terminé pour avoir cassé avant son achèvement).
  • L’ancienne maison de commune, devenue pharmacie, puis magasin spécialisé dans l’horlogerie ancienne (Grand’Rue 28), et la maison de maître à quelques pas de là (Grand’Rue 22) qui fut la résidence de médecins où vécut la famille Chambrier. Au demeurant, toute la Grand’Rue mérite attention.
  • Autres maisons : Grand’Rue 34 (ancienne maison Sandoz) ; Grand’Rue 50 (maison Morthier).
  • Le complexe du Centre pédagogique de Dombresson, anciennement orphelinat Borel dès 1880, montre, par l’évolution architecturale, les phases de l’éducation en vigueur depuis 150 ans.
  • À la fonte des neiges, parfois le Torrent coule entre Saint-Martin et Dombresson.
  • Eglise : Peintures murales du XIVe et XVe siècles ainsi que deux vitraux de Jules Courvoisier : Christ en majesté et le tombeau vide (sud) & Christ et Marie-Madeleine (oeil-de-boeuf), un vitrail de Hanns Studer : Jonas avalé par le poisson et un profane de Doriane Peter, évoquant les armes d’Engollon (chêne). La documentation se trouve dans le choeur de l’église.

Découvrez les panoramas de l'église d'Engollon, un joyau de l'art roman de notre Commune !

Grâce au logiciel mis à disposition par la société Foxel, vous pouvez visualiser les images panoramiques en 3D. Pour cela, il suffit de maintenir le clic gauche de votre souris sur l'image et de la faire pivoter.

  • Site de La Bonneville, au sud-ouest du village, dans la forêt. Stèle commémorative 1301-2001 (rappel de la destruction du site, défendu par les Aarberg-Valangin).
  • Dans le bois encore, une fontaine de forme ronde (qui pourrait être le support d’une rebatte, appareil pour écraser les fruits ou des fibres textiles).
  • Piscine extérieure de Val-de-Ruz, ouverte depuis l’été 1968.
  • Eglise en lisière de forêt qui rappelle que le chemin passait au pied de Chaumont. Elle est dédiée à saint Laurent et à saint Léonard. Ainsi, à cette époque, de la Vy Marchand on descendait dans le village.
  • Intérieur de l’église avec, à l’entrée, la pierre tombale de Jean de Tribolet et des vitraux représentant les deux saints patrons (XVIe) ainsi que La peine et La joie, deux vitraux modernes de Jean-Paul Perregaux (1985).
  • Arbres plantés en 1803 au sud de l’église.
  • A l’ouest de l’église, monument à la mémoire d’Eulalie Piccard, écrivaine (1879-1957).
  • Château de Fenin, résidence privée, en fait une gentilhommière bâtie en 1561. Construite sans doute par Jean Clerc dit Vulpe, maire de Valangin. Elle fut la propriété des Meuron, des Pury et des Châtelain (dont Léo, architecte). Le premier étage est décoré de 64 quatrains de Guy du Faur, seigneur de Pibrac, magistrat et poète (1529-1584).
  • Ancienne maison de commune (1793), victime de l’incendie de 1860, devenue restaurant « Auberge du Chasseur ». La clé de voûte porte les initiales des gouverneurs et le gril stylisé de saint Laurent.
  • Sur Chaumont, protégée par trois petites bornes, une borne de 1526, sculptée et portant les armes des Bade-Hochberg et des Challant-Valangin.
  • Centre du village « en étoile » avec le temple, l’ancienne maison d’école, la cure et le restaurant.
  • Bassins de Fontaines à la rue homonyme ainsi que la fontaine commémorative devant l’école (oeuvre d’André Ramseyer, inaugurée en 1951).
  • Au cimetière, stèle en forme d’obélisque rappelant la mémoire d’Henri Meyer (1868-1943) qui fit fortune au Caire.
  • Dans la zone industrielle, fontaine de Paulo Röthlisberger, surmontée d’un berger et d’un chien (1966).
  • Dans la chapelle de La Vue-des-Alpes, on trouve quatre vitraux (1997) de Jacques Minala.
  • Au revers du col, oeuvre de Gillian White The winds with wonder whist, sculpture acier (1970).
  • Les Convers et le roc Mil Deux (étymologiquement : « mire duc », là où le grand ou le moyen duc se mire).
  • Quelques maisons séculaires sont encore là malgré la transformation du paysage construit (dont le vieux collège de 1846). Bâtiments industriels d’époques différentes ou maisons d’habitation des industriels.
  • Usine ETA SA, façade Nord, bas-relief de pierre jaune, évoquant Le Génie créateur – L’Industrie – L’Abondance (1955-1956).
  • Aux Loges, sur la route de La Vue-des-Alpes, on peut encore distinguer trois tracés parallèles de chemins (herbe) et de routes (1806, 1947 et actuel).
  • Maison appelée « Le vieux collège », à la rue du Centre, en usage de 1846 à 1895.
  • Visite des fermes (XVIIe et XVIIIe) et de leur lente transformation architecturale.
  • Fontaine près de l’école et fontaine du Bas.
  • L’ancienne forge communale organise des animations publiques.
  • Station de ski des Bugnenets.
  • Réserve de la Combe Biosse et Chasseral.
  • Au Centre du Louverain, vue sur le Plateau et les Alpes ; vitraux de la chapelle dus à Jean Bouille (1967).
  • Chapelle catholique du Bon Pasteur, réalisation de Dino Biancolin.
  • Devant l’école, oeuvre de Robert Hainard : Le Lynx, bronze, 1970.
  • Sur les crêtes aux Pradières et au Mont Racine (alt. 1439 m.), le paysage est dégagé sur 360°.
  • L’architecture du Centre du Louverain est l’oeuvre d’André Gaillard.
  • Chemins pédestres par les crêtes jurassiennes.
  • Plaque commémorative de Silvio Gesell (1862-1930), économiste, sur la route de La Vue-des-Alpes. Auteur d’un ouvrage intitulé L’ordre économique naturel, traduction Félix Swinne, Paris, 1948.
  • Centre des Perce-Neige : oeuvre d’Alfred Manessier (1977) – Rencontre, fer de Berthoud sculpteur (1977) – La Ronde, bronze de Jean-Claude Reussner (1977).
  • Ancienne maison de commune de 1780, avec trois portes cochères, qui servit à plusieurs usages (auberge et hôtel, enseignement, lieu de culte, etc.) ; près de là, une fontaine dont le bassin principal en calcaire est cerclé ; rafistolée, elle porte les initiales des anciens gouverneurs de la localité et la date de 1825. La pile est surmontée d’un chapiteau et d’une boule.
  • Sur l’esplanade de la gare, vue sur le Val-de-Ruz, le lac de Neuchâtel et les Alpes. Une table d’orientation donne des indications géographiques sur la vallée.
  • Tête-de-Ran, sommet à 1422 m. Promenade jusqu’au Mont Dar.
  • Au coucher du soleil, la vue sur le bas du canton et les Alpes est remarquable. Mieux encore, monter sur les Prés-Devant par Les Geneveys-sur-Coffrane par exemple.
  • Ancien petit bâtiment scolaire de 1869.
  • Ancienne buanderie à l’est du village, devenue plus tard abattoir communal, avec toit en demi-croupe, réserve d’eau, bassin en granit (1859). Les encadrements des fenêtres et de la porte sont en calcaire gris.
  • Se rendre à La Grande Sagneule (alt. 1313 m.), accès par Rochefort et La Tourne.
  • A l’extrémité de son territoire, dans un pâturage de la Grande Sagneule, se trouve une borne où se rejoignent quatre districts (La Chaux-de-Fonds, Le Locle, Boudry et Val-de-Ruz).
  • A voir au lieudit Gletterens, entre le village et Coffrane, des bornes rappelant les mairies de Valangin et de La Côte, anciennes subdivisions administratives du pays.
  • De Corcelles, on peut monter en direction de La Tourne et donc aller dans la vallée des Ponts et au Locle.
  • Structure du village en pente, de la Vy Marchand à la route cantonale, portes cochères des fermes sur le côté. Où placer les fenêtres du logement : côté montagne ou côté vallée ? Observation de nature architecturale.
  • Quelques fermes du XVIIIe siècle transformées.
  • Fontaines avec bassins en calcaire et granit (1786 – 1805 – 1844 – 1861).
  • Moulin de Bayerel et son bied prenant son eau au Seyon.
  • Tant dans le Grand que dans le Petit Savagnier, on retrouve les petits édifices officiels nécessaires à la vie communautaire : buanderie, local des pompes, four, etc. Sur certains d’entre eux, on peut lire la date de construction et les initiales des gouverneurs.
  • Le bâtiment scolaire actuel date de 1866-1868. Il a conservé une architecture originelle parfaite, avec un fronton, oeuvre d’Edouard Guinand, architecte cantonal.
  • Au Grand Savagnier, à côté de la maison Leuba, on trouve le four banal (il fait parfois l’objet d’animations).
  • L’église du village mérite une observation attentive, elle reste néanmoins très dépouillée à l’intérieur. Originellement, ce n’était qu’une chapelle dédiée à saint Nicolas.
  • Une promenade sur le Grand Chaumont offre des perspectives sur le Plateau et sur le Val-de-Ruz.
  • Borne de triangulation, sur les hauts de Vilars, près de la place de pique-nique (561 475/208 850).
  • Au bord de la route cantonale, ancien hangar à l’usage des pompes à feu.
  • Bâtiment scolaire de 1880 (pour les trois hameaux).
  • Sur Chaumont, borne de 1526 protégée par trois petites bornes fixées par une barre de fer, sculptée et portant les armes des Neuchâtel et des Challant-Valangin (Valangin), posée lors d’une délimitation de frontière. Sur la carte topographique, on trouve l’expression « Les Trois-Bornes ».
  • Ferme de Jean-Jacques Lorimier et de Jeanne-Marie Dessoulavy, au nord de la route.
  • Observation des vestiges de moulins sur les premiers 500 mètres du cours du Seyon, dès le pied de Chaumont.
  • Belles fontaines du XVIIIe siècle, en calcaire (1780 et 1781, avec initiales des gouverneurs de la communauté) ainsi qu’en granit.
  • Sur l’ancien territoire communal, plusieurs métairies : La Dame – Chuffort – L’Isle – Frienisberg/Dombresson, connues des randonneurs. Elles permettaient de mettre le bétail à l’estivage.
  • Point de vue sur la vallée depuis Clémesin.